Sur Hautes Instructions de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, SAR la Princesse Lalla Hasnaa, accompagnée de Madame Brigitte Macron, a inauguré ce mardi le somptueux Théâtre Royal de Rabat. Situé au cœur de la capitale culturelle, cet édifice emblématique vient renforcer l’attrait de Rabat en tant que Ville Lumière.
La cérémonie d’inauguration a débuté par le dévoilement d’une plaque commémorative, suivie d’une visite de l’architecture intérieure. SAR la Princesse Lalla Hasnaa et Madame Macron ont parcouru les diverses dépendances de ce bâtiment qui symbolise l’engagement de la Monarchie envers l’art et la culture. Fruit de la vision de Sa Majesté, le Théâtre Royal de Rabat s’inscrit dans le vaste programme de développement de la ville, promouvant le rayonnement culturel marocain sur la scène internationale.
Conçu par l’architecte Zaha Hadid et réalisé par l’Agence d’Aménagement de la Vallée du Bouregreg, le Théâtre Royal de Rabat s’étend sur 7,1 hectares, intégrant harmonieusement l’environnement de la vallée. Son design unique, inspiré par une architecture moderne et audacieuse, en fait un véritable joyau urbain et artistique.
L’édifice comprend plusieurs espaces à l’agencement innovant, facilitant une circulation fluide du public avec des accès PMR. La grande salle de spectacles, avec ses 1 800 places et son acoustique exceptionnelle, répond aux normes internationales les plus élevées, offrant une expérience sonore immersive grâce à un plafond acoustique amovible. Une seconde salle de 250 places accueille des performances variées, favorisant l’émergence de la scène artistique marocaine. L’extérieur du Théâtre, avec son amphithéâtre de 7 000 places, offre un espace idéal pour les festivals et grands événements.
Cet ouvrage contribue à hisser Rabat au rang des grandes destinations culturelles mondiales, incarnant la vision éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Ce lieu prestigieux promet une programmation culturelle riche et variée, ajoutant une touche de modernité et de prestige au patrimoine artistique marocain.
