Le Visa Fintech Day au Maroc a réuni l’intégralité des acteurs de l’écosystème fintech, y compris la Banque Centrale, l’APEP, les partenaires technologiques (HPS, S2M, M2M) et les principaux incubateurs. L’événement a également mis en lumière le programme d’accélération Visa Africa Fintech, offrant mentorat, formation personnalisée et réseautage aux start-ups africaines. Les candidatures pour la deuxième cohorte sont ouvertes jusqu’au 29 février, suite au programme inaugural de 12 semaines. Les participants de la première cohorte présenteront leurs projets aux investisseurs à Nairobi le 13 février lors d’une Journée de Démonstration organisée par Visa. Cette initiative vise à soutenir le développement des start-ups fintech en Afrique et à catalyser l’innovation financière sur le continent.
Visa, leader mondial des paiements numériques, a organisé le 25 septembre à Casablanca la première édition du Fintech Day, en partenariat avec l’Agence de Développement du Digital (ADD), Technopark et le Centre monétaire interbancaire (CMI).
Cette première édition a rassemblé l’intégralité des acteurs majeurs de l’écosystème fintech, notamment la Banque Centrale, l’APEP, les partenaires technologiques (HPS, S2M, M2M), les principaux incubateurs (UM6P Ventures, 212Founders, Positive Invest) afin de discuter sur les principaux défis et opportunités de développement de l’écosystème fintech au Maroc.
Le spécialiste des paiements a également annoncé lors de cette journée que son Programme Africa Fintech Accelerator accepte désormais les candidatures pour sa deuxième cohorte. Les start-ups en phase de lancement, opérant en Afrique et relevant de catégories spécifiques, sont encouragées à postuler sur son site web. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 29 février 2023.
De même que la première journée de démonstration du programme sera organisée le 13 février à Nairobi. Au cours de cet événement, les startups de la première cohorte présenteront leurs innovations aux principaux acteurs de l’écosystème, aux partenaires financiers, aux investisseurs privés et aux sociétés de capital-risque.
La première cohorte comprend des start-ups opérant dans plus de 18 pays africains, dont trois du Maroc, une d’Égypte et une de la Tunisie, avec des participants présélectionnés parmi plus de 1 000 candidats issus de divers sous-secteurs, notamment des solutions de paiement pour les commerçants, des infrastructures de prêt, la Banque en tant que Service et des market place B2B. Quarante-huit pour cent de ces start-ups avaient une fondatrice ou une femme dans leur équipe de direction.